Sans titre, par Hélène

Il est 08h, comme tous les matins cet arbre,

Tous les matins, cette rue si calme pas un bruit, au bout de la rue on voit une fontaine quand on tourne, une grande ruée, tiens, le bus 115 quelques pas après, deux grands immeubles m’entourent tout semble si calme, même pas un pigeon ne passe, au bout de la rue, plus d’immeuble, on voit plus de commerces, déjà une pharmacie, une boulangerie et… le BUS ! Vite, il faut courir tout semble défiler, l’abribus, le traiteur, les arbres, la brasserie, la crêperie, le bus, la marche , le 115, la boulangerie et, finalement, le feu tricolore, le feu passe au rouge le bus s’arrête, je m’arrête, je marche, je feu repasse au vert, j’abandonne !

A propos decorville

Poète français né le 4 juillet 1900
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